“Ever yours,” &c.
[Footnote 127: With Milan, however, or its society, the noble traveller was far from being pleased, and in his Memoranda, I recollect, he described his stay there to be “like a ship under quarantine.” Among other persons whom he met in the society of that place was M. Beyle, the ingenious author of “L’Histoire de la Peinture en Italie,” who thus describes the impression their first interview left upon him:—
“Ce fut pendant l’automne de 1816, que je le rencontrai au theatre de la Scala, a Milan, dans la loge de M. Louis de Breme. Je fus frappe des yeux de Lord Byron au moment ou il ecoutait un sestetto d’un opera de Mayer intitule Elena. Je n’ai vu de ma vie, rien de plus beau ni de plus expressif. Encore aujourd’hui, si je viens a penser a l’expression qu’un grand peintre devrait donner an genie, cette tete sublime reparait tout-a-coup devant moi. J’eus un instant d’enthousiasme, et oubliant la juste repugnance que tout homme un peu fier doit avoir a se faire presenter a un pair d’Angleterre, je priai M. de Breme de m’introduire a Lord Byron, je me trouvai le lendemain a diner chez M. de Breme, avec lui, et le celebre Monti, l’immortel auteur de la Basvigliana. On parla poesie, on en vint a demander quels etaient les douze plus beaux vers faits depuis un siecle, en Francais, en Italien, en Anglais. Les Italiens presens s’accorderent a designer les douze premiers vers de la Mascheroniana de Monti, comme ce que l’on avait fait de plus beau dans leur langue, depuis cent ans. Monti voulut bien nous les reciter. Je regardai Lord Byron, il fut ravi. La nuance de hauteur, ou plutot l’air d’un homme qui se trouve avoir a repousser une importunite, qui deparait un peu