Sketches of Natural History of Ceylon eBook

J. Emerson Tennent
This eBook from the Gutenberg Project consists of approximately 590 pages of information about Sketches of Natural History of Ceylon.

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J. Emerson Tennent
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“Les machelieres se rapprochent, par la forme de leur couronne, plutot de l’espece Asiatique que do celle qui est propre a l’Afrique; c’est-a-dire que leur couronne offre la forme de rubans ondoyes et non pas en losange; mais ces rubans sont de la largeur de ceux qu’on voit a la couronne des dents de l’elephant d’Afrique; ils sont consequemment moins nombreux que dans celui du continent de l’Asie.  Les dimensions de ces rubans, dans la direction d’avant en arriere, comparees a celle prises dans la direction transversale et laterale, sont en raison de 3 ou 4 a 1; tandis que dans l’elephant du continent elles sont comme 4 ou 6 a 1.  La longueur totale de six de ces rubans, dans l’espece nouvelle de Sumatra, ainsi que dans celle d’Afrique, est d’environ 12 centimetres, tandis que cette longueur n’est que de 8 a 10 centimetres dans l’espece du continent de l’Asie.

“Les autres formes osteologiques sont a peu pres les memes dans les trois especes; mais il y a difference dans le nombre des os dont le squelette se compose, ainsi que le tableau comparatif ci-joint l’eprouve.

L’elephas Africanus a 7 vertebres du cou, 21 vert. dorsales, 3 lombaires, 4 sacrees, et 26 caudales; 21 paires de cotes, dont 6 vraies, et 15 fausses. L’elephas Indicus a 7 vertebres du cou, 19 dorsales, 3 lombaires, 5 sacrees, et 34 caudales, 19 paires de cotes, dont 6 vraies, et 3 fausses. L’elephas Sumatranus a 7 vertebres du cou, 20 dorsales, 3 lombaires, 4 sacrees, et 34 caudales; 20 paires du cotes, dont 6 vraies, et 14 fausses.

“Ces caracteres ont ete constates sur trois squelettes de l’espece nouvelle, un male et une femelle adultes et un jeune male.  Nous n’avons pas encore ete a meme de nous procurer la depouille de cette espece.”]

PROFESSOR SCHLEGEL of Leyden, in a paper lately submitted by him to the Royal Academy of Sciences of Holland, (the substance of which he has obligingly communicated to me, through Baron Bentinck the Netherlands Minister at this Court), has confirmed the identity of the Ceylon elephant with that found in the Lampongs of Sumatra.  The osteological comparison of which TEMMINCK has given the results was, he says, conducted by himself with access to four skeletons of the latter.  And the more recent opportunity of comparing a living Sumatran elephant with one from Bengal, has served to establish other though minor points of divergence.  The Indian species is more robust and powerful:  the proboscis longer and more slender; and the extremity, (a point, in which the elephant of Sumatra resembles that of Africa,) is more flattened and provided with coarser and longer hair than that of India.

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